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FAQ

Foire aux questions

Question 1 : La formation de Qiseido est-elle une formation professionnelle, avec le formalisme et la rigueur attachés, ou une formation visant le développement personnel ?
Le sens d’une communication est donné par le receveur. Les élèves fixent librement leur implication et leur parcours à partir des offres de formation de Qiseido.
Les modules de formation de Qiseido suivent les exigences fixées par la FFST et par les certifications professionnelles. L’enseignement y est complet, approfondi, intégré : les différentes matières se complètent. L’évaluation des connaissances acquises est régulier et sérieux. Cela est proposé aux candidats à une formation professionnelle.

Cette qualification permet d’exercer le métier de praticien en shiatsu, couvert par les assurances, certifié par la FFST et par de nombreuses instances européennes.

En même temps ce programme respecte le rythme et les capacités d’investissement de chacun. Il est possible aussi de participer aux cours données par Qiseido dans un but de développement personnel avec une grande liberté d’appréciation des efforts à consacrer. Quand ils ne sont pas dans le cas précédent, les participants dosent leurs efforts, mesurent leurs engagements, participent ou non aux évaluations des connaissances acquises (tests et examens).

Rappel : Le plaisir et la sincérité sont des valeurs importantes pour Qiseido.
Question 2 : Combien de temps dure la formation qualifiante ?
La FFST fixe un minimum de 3 années, sur la base des rythmes pratiqués actuellement : cours du soir ou formules de weekends. C’est le temps minimum pour atteindre les impératifs de 500 heures en présentiel, et pour une certaine maturité par des heures suffisantes de pratiques personnelles.

L’expérience des résultats des examens tend à montrer que 4 années constituent la durée la plus fréquente pour la présentation à l’examen et atteindre la maturité souhaitée.

Il est à souligner le phasage des impératifs : le participant détermine lui-même son rythme d’apprentissage, en dosant ses efforts. Il choisit quand il suivra les cours de Médecine Chinoise Traditionnelle, d’anatomie, de physiologie. Il participe aux séminaires thématiques de son choix.
Question 3 : Les formations sont-elles du même niveau que celles d’un kinésithérapeute ou d’un ostéopathe ?
Le shiatsu, comme la Médecine Chinoise Traditionnelle (MTC) ou l’Acupuncture, n’est pas une discipline reconnue au niveau national conduisant à un diplôme d’Etat. Il n’est donc pas possible de comparer ces différentes formations sur le plan du statut.

Du point de vue du contenu des formations, celles de kinésithérapeute ou d’ostéopathe totalisent un nombre d’heures supérieur en présentiel, avec des pratiques physiques importantes, visant à réparer, soigner, rétablir, sur des corps meurtris. L’enseignement y est pratiqué pour des publics en formation initiale, en semaine et à temps plein, tandis que le shiatsu est le plus souvent enseigné en cours du soir, ou le weekend, pour tenir compte des emplois du temps de personnes qui travaillent.

De façon spécifique, le shiatsu aborde des connaissances sur le plan énergétique, en utilisant les principes de la MTC, enrichie par les apports du Japon. De ce point de vue, les connaissances en anatomie et physiologie sont importantes, sans toutefois atteindre les niveaux d’exigences imposés aux kinésithérapeute ou ostéopathe, dont c’est la connaissance de base.

Ainsi, favorisant la prévention, par un toucher non intrusif, le shiatsu permet d’intervenir en amont, en repoussant l’apparition des pathologies ou en réduisant les effets. Il s’inscrit dans les thérapies complémentaires et d’accompagnement. Il ne se substitue en aucun cas à une thérapie classique et médicalisée. Il permet un mieux-être, et s’inscrit dans une démarche de bonne santé physique, psychique, émotionnelle. Il engage le patient, pilote de ses attitudes et de l’hygiène de sa vie, et qui prend donc en charge une véritable responsabilité dans le maintien de sa santé.

De nombreux médecins, kinés, ostéopathes, prolongent ou élargissent leur formation dans les écoles de shiatsu, ce qui atteste de la complémentarité entre disciplines.
Question 4 : Quels sont les efforts à engager dans la formation ?
Les conditions financières sont précisées par ailleurs dans des documents spécifiques. Ici nous aborderons surtout du temps à investir dans la formation. La question 1 fournit de nombreux éléments de réponse.

A partir du moment où le participant s’engage dans une des formations proposées par Qiseido, il se voit offrir des possibilités aménageables :

a) Pratique :

Cours les dimanche, dans des salles permettant les pratiques au sol, de façon traditionnelle, dans des cours collectifs.
Des ateliers de révision ou d’approfondissement sont périodiquement organisés à d’autres dates que les cours prévus dans la formation et affichés sur le site internet,

Lors des dispensaires, les participants accueillent des personnes venant de l’extérieur de l’école, qui reçoicvent des pratiques des élèves, sous la supervision d’un enseignant ou assistant,

Dans les échanges entre élèves, ceux-ci révisent et revoient les enchainements vus en cours, assouplissent leur position, fluidifient leurs mouvements, acquièrent des gestes plus affirmés.

Deux niveaux de validation des acquis :
le niveau de shiatsu familial ou shiatsu détente-bien-être, examen passé dans le courant de la 2e année, quand les gestes et enchainements principaux font l’objet d’une première maitrise,

Le niveau de praticien, qui fait l’objet de pratiques personnelles, sur des cas cliniques avec compte rendus, et d’une recherche personnelle sur un mémoire permettant de vérifier l’ensemble des acquis de la formation. Quand cet examen fédéral est acquis, le titulaire peut s’installer de façon professionnelle en tant que praticien de shiatsu, en souscrivant une assurance professionnelle.
b) Cours théoriques :

Les cours sont interactifs, ce qui est facilité par le petit nombre d’élèves (10 au maximum), la communication y est ouvertes, avec de nombreuses questions et souvent des mises en situation (anatomie palpatoire, simulations de situations pathologiques, etc.),

Pour consolider les acquis d’un cours, un questionnaire, sous forme de QCM ou de dessins à renseigner, précède le cours suivant. Les tests sont corrigés par les élèves en leur présence, ce qui permet de réviser avant d’engager le nouveau cours,

Des exposés individuels, sur un sujet de leur choix, validé par l’enseignant, prolongent la formation, permet de l’assimiler et de l’approfondir. Cet exercice est un entrainement pour la préparation des études de cas cliniques et du mémoire de fin d’étude, d’autant qu’il est couronné par une présentation devant les autres élèves et, parfois des invités extérieurs.

Enfin, à la fin de l’été (pour laisser le temps de réviser), un examen final permet de jouer le rôle de « camion balai » pour une nouvelle révision, évaluée sur le même principe que les tests périodiques, dans une version un peu plus soutenue.

Les notes finales tiennent compte de l’ensemble.

Il est rappelé que les évaluations, si elles sont nécessaires pour la qualification professionnelle, restent facultatives pour les candidats individuels axés sur un développement personnel.

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